Nous abandonnons les oiseaux qui nous surpassent
en tendresse le front atmosphérique qui les effraye
et les enfonce dans la maison, nous abandonnons
la place des rêves de la nuit dernière nous abandonnons
la Chasse de la Résurrection en publiques places. La
parole
nous l’abandonnons délibérément car elle s’effondre et pose
le silence lourd sur le gravillon d’intérieur car nous
abandonnons les eaux aussi, la lumière et la poussière
et nous entrons dans l’œil qui s’incline et nous regarde
avec grande curiosité.
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